place de l’opéra
C’est tout là-haut que niche la poésie, à peine protégée du ciel par les gargouilles, inaccessible à ceux-là du parvis qui s’abîment en autoportraits, comme si le lyrisme du réel pouvait être augmenté.
C’est tout là-haut que niche la poésie, à peine protégée du ciel par les gargouilles, inaccessible à ceux-là du parvis qui s’abîment en autoportraits, comme si le lyrisme du réel pouvait être augmenté.